Ce ci est un blog collaboratif des gens qui étudient ensemble français. C'est est pour pratiquer et c'est aussi pour nous amuser.
On ne doit pas prendre ces textes comme bons. Il y aura beaucoup d'erreurs

26.2.08

Bleu Grèce

Bleu.
Mort.
Le ciel sur lui.
Le grand jour est arrivé.
Ikaros est né a Crète. Il a vit toujours là. Il a toujours vu le ciel bleu, la mer bleue. Toujours à travers les fenêtres bleues dans les murs blancs chez lui. Mais lui et Daídolos, son père, ne peuvent voir plus la mer. Ils sont reclus dans le labyrinthe.
Depuis longtemps ils ne peuvent pas se souvenir quand ils ont décidé aller loin et sortir finalement de ce labyrinthe, de cette île. Il y a quatre mois ils sont commencés a recueillir les plumes que les grands oiseaux perdent, garder la cire d'un ruche d'abeilles qu'ils ont trouvé dans un coin et planifier leur sortie. Ils ont dessiné leurs figures sur le chaussée, détachés l'un de l'autre. Après ils ont ajouté des dessins d'ailes, seulement une structure basique, calculées plus ou moins selon leurs mesures. Avec le bois, qui a resté de la construction de certaines pièces du labyrinthe, ils ont créé les structures déjà planifiés. Chacun à son temps à ajouté les plumes avec la cire, Daídalos les grandes, Ikaros les petites.
Ce matin ils se sont levés tôt. À vrai dire ils n'ont pas pu dormir trop. Ils ont fait leur petit déjeuner. Après ils ont vérifie pour huitième et dernière fois les ailes et, en s'aident, ils se les sont mises par les bras. En battent les ailes se sont levés un peu. Après un peu plus. Finalement ils ont pu voir les limites du labyrinthe. Ils ont respiré la liberté.
Mais Ikaros a voulu s'approcher trop au soleil et la cire à devenu liquide et ses ailes se sont démontés comme ça.
La tombée n'était pas douce. L'eau froid est entrée dans ses poumons. Quinze pieds, Seize. Ikaros a arrêté a respirer.
Vingt-trois ans lui. Quarante-deux son père.
Toujours lui dans la mer.
Mort.
Bleue.

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