Ce ci est un blog collaboratif des gens qui étudient ensemble français. C'est est pour pratiquer et c'est aussi pour nous amuser.
On ne doit pas prendre ces textes comme bons. Il y aura beaucoup d'erreurs

7.3.08

REFLECHISSONS: Annabel? Lui-même!!!!

On ne peut pas baisser deux fois la même rivière, parce que de nouvelles eaux courent sur toi, ainsi arrive dans la vie: ce qui est aujourd'hui valable, demain sûrement déjà il ne le sera pas - cette phrase l' a dit beaucoup Heraclito, un ancien philosophe , il y a beaucoup de temps -
Je pense aujourd'hui que je dois m'arrêter sur le chemin et saluer affectueusement ces personnes qui ont osé le marcher avec moi....je dois aussi penser que parfois ce qu'il pèse plus quand on marche l'est ce qui à la fin quand on arrive à la destination le fait sentir récompensé...trop fatiguée pour penser aujourd'hui....

Je continue le projet... pour l'instant; bien que je ne sache pas si je pourrai continuer à aller aux classes de français. en tout cas, Salva et Montse, je veux vous remercier!

27.2.08

L APPEL DE TÉLÈPHONE

Jerôme...je pense fortement à toi...beeep...beeep... tandis que je contiens l'air pour entreprendre des mots, on étend un silence qui parle par lui-même, personne ne dit rien, mais les palpitations des deux sont retournées audibles : les mien parce que je m'accélère jusqu'à tu décroches, et le tien parce que tu ne t'imagines pas qui je suis. Je suis en autre côté du téléphone, mais ce minute...c'est comme prendre ta main, quand quinze minutes deviennent l'attente plus longue en ma vie... entends-tu ?

26.2.08

Bleu Grèce

Bleu.
Mort.
Le ciel sur lui.
Le grand jour est arrivé.
Ikaros est né a Crète. Il a vit toujours là. Il a toujours vu le ciel bleu, la mer bleue. Toujours à travers les fenêtres bleues dans les murs blancs chez lui. Mais lui et Daídolos, son père, ne peuvent voir plus la mer. Ils sont reclus dans le labyrinthe.
Depuis longtemps ils ne peuvent pas se souvenir quand ils ont décidé aller loin et sortir finalement de ce labyrinthe, de cette île. Il y a quatre mois ils sont commencés a recueillir les plumes que les grands oiseaux perdent, garder la cire d'un ruche d'abeilles qu'ils ont trouvé dans un coin et planifier leur sortie. Ils ont dessiné leurs figures sur le chaussée, détachés l'un de l'autre. Après ils ont ajouté des dessins d'ailes, seulement une structure basique, calculées plus ou moins selon leurs mesures. Avec le bois, qui a resté de la construction de certaines pièces du labyrinthe, ils ont créé les structures déjà planifiés. Chacun à son temps à ajouté les plumes avec la cire, Daídalos les grandes, Ikaros les petites.
Ce matin ils se sont levés tôt. À vrai dire ils n'ont pas pu dormir trop. Ils ont fait leur petit déjeuner. Après ils ont vérifie pour huitième et dernière fois les ailes et, en s'aident, ils se les sont mises par les bras. En battent les ailes se sont levés un peu. Après un peu plus. Finalement ils ont pu voir les limites du labyrinthe. Ils ont respiré la liberté.
Mais Ikaros a voulu s'approcher trop au soleil et la cire à devenu liquide et ses ailes se sont démontés comme ça.
La tombée n'était pas douce. L'eau froid est entrée dans ses poumons. Quinze pieds, Seize. Ikaros a arrêté a respirer.
Vingt-trois ans lui. Quarante-deux son père.
Toujours lui dans la mer.
Mort.
Bleue.

15.2.08

Monsieur Renoir

Monsieur Renoir habite à Marseille. Depuis 15 ans travaillant à la librairie de son père il vient de mourir et Jérome Renoir change sa vie. Il est plus gai maintenant parce qu'il peut faire ce qu'il veut. Le même jour que son père meurt il décide fermer le magasin chaque lundi pour aller à la plage ou en campagne. Il a aussi décidé peindre tout vert et demander de l'aide à sa voisine Sophie à la librairie. Ils dînent souvent ensemble mais chacun dort toujours chez eux parce qu'elle a peur à connaître plus profondément l'homme qui se cache derrière ces lunettes

Libèlles